Basketball: Pierre Eyock recadre la fécabasket.
Dans une lettre ouverte à Nduku Sam Nduku Président de la fédération camerounaise de basketball, l'ancien directeur national de la même discipline très en colère recadre la fécabasket suite à sa correspondance interdisant un clinic des entraîneurs.
Piere Eyock, l'ancien directeur national de la fecabasket via sa page Facebook, décrit la légèreté avec laquelle le président dirige le basketball camerounais
" Je ne peux pas comprendre le fait que tu interdise la tenue d'une session de formation continue des entraîneurs de basketball camerounais, organisée par l'association des entraîneurs de basketball du Cameroun et animée par Martial Wassu un membre de ladite association, lui même licencié de la fecabasket, professeur à l'injs et en séjour académique en France pour les besoins : la soutenance de sa thèse de doctorat en sciences de l'entraînement sportif et du management des organisations sportives. Fin de citation" a-t'il déclaré.
Dans sa correspondance, la fécabasket met en garde tous les basketteurs sur l'étendue du Cameroun qui souhaiteraient organiser des activités privées de prendre l'autorisation avant utilisation son logo.
Eyock Pierre au rebond "Monsieur le Président, les entraîneurs de basketball ne sont pas une propriété de la fecabasket, ils en sont plutôt par détermination de la loi régissant les activités sportives au Cameroun, les copropriétaires et par conséquent les propriétaires du logo de ladite fédération. Je viens de lire les statuts et règlement généraux de la fecabasket. Et , aucune disposition n'y impose d'une autorisation préalable de la fecabasket, pour organiser quelque activités concourant au développement de la pratique du basketball sur le territoire de la République du Cameroun".
La chambre de conciliation d'arbitrage ayant annulée l'élection de Nduku sam Nduku après avoir passé plus de 12 ans à la tête de la fecabasket, Pierre Eyock ajoute
"Tu es un président par défaut. Si tu ne te sens plus capable de diriger la fecabasket, n'abandonne pas sa gestion aux charlatans".